Dr Roland NIEDERMANN
© Docteur Roland NIEDERMANN 2024 - 2025
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Bio
Avant-Propos
La Suisse libérale et sa démocratie se comportent comme l’Eglise : cette dernière cultivait l’erreur de s’attribuer un pouvoir qu’elle n’avait point. Elle décidait par exemple que le soleil tournerait autour de la terre et fut détrônée par la science se consacrant à la nature. La Suisse cultive une attitude comparable. Peu après la Déclaration universelle des Droits humains, elle attribua à ses hommes le droit de décider si les femmes sont des êtres humains, égaux à eux et dignes d’exercer les mêmes droits qu’eux. Au lieu d’avoir honte, la Suisse et ses femmes et hommes restent fiers de leur mépris de l’ordre naturel, du savoir biologique et des Droits humains. L’auteur de ce site défend le droit à la santé. L’Association médicale mondiale appelle les médecins à s’engager en faveur de ce droit humain contre un ordre social qui autorise les entreprises, industries, marchés et États à réaliser des affaires lucratives au détriment de la santé et de la vie d’autres êtres vivants. Cet engagement est devenu un devoir en 2021 au moment où, malgré les condamnations connues de tels délits, la Suisse et « son marché de la santé » luttent pour le marché des droits de polluer l’air que nous respirons. Le site traite les incompatibilités entre, d’une part, ce système et, d’autre part, les besoins vitaux des cellules, organes et corps à un air sain, le droit humain à la santé et le respect des Serments des médecins, y inclus leur déontologie. Le site se base sur le savoir quant à l’évolution : la vie et la santé appartiennent à l’ordre naturel milliardaire et non à l’ordre social récent des êtres humains, de leur économie et de leurs Etats. Quant au nom du site, l’auteur reprend le diagnostic médical des Nations Unies : Les humains moyennant leurs œuvres industrielles et de richesse des nations mènent une guerre contre la Terre-mère du vivant. Aveuglés par leur créationnisme mégalomane, les femmes et les hommes refusent l’évidence que la terre n’a besoin d’elles/eux, tandis que notre espèce dépend à jamais de la vie sur cette terre. Commune aux trois paragraphes est la relation de l’humain au monde : est-il son maître, ou au contraire, un être non-essentiel et passager. Se donnera-t-il une mort prématurée et évitable, ou sera-t-il digne de la vie, son souverain, et de la terre, sa Mère ?
Un médecin de famille accuse. Il dénonce la mort anthropogène, la vie ôtée prématurément par l’homme. La médecine doit soigner, sauver la vie et non tuer ! Des millions d’individus ont été privés de leur vie à travers l’histoire au profit d’odieux mensonges, mis au service de la raison d’État et de l’économie. Platon, Aristote, Mandeville et d’autres éminences ont su manipuler le droit à la vie, confisqué notamment par les chefs de guerre, à l’instar d’un Bismarck, relayé plus tard lors de la barbarie nazie du III e Reich. La médecine mercantile d’aujourd’hui continue à négliger les diagnostics scientifiques pour mieux cacher les intérêts financiers. D’un esprit hippocratique, Roland Niedermann jette ici un regard courroucé sur les pages sombres de la médecine à travers les siècles. ISBN 978-2-8399-3964-5
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