LA MÉDECINE C’EST L’EXPROPRIATION

Pour des raisons sanitaires, les sociétés démocratiques ont légiféré le marché immobilier en lui interdisant l’utilisation de l’amiante et en régularisant tout travail y relative, par ex. la rénovation des constructions contenant de l’amiante. Deux millénaires après les premières connaissances 1 , elles appliquent depuis 1990 le savoir médical en interdisant l’introduction de l’amiante dans la biosphère humaine; en d’autres mots, elles ont aboli les marchés de l’amiante et privé les industries de la liberté d’utiliser « l’or gris » dans leurs activités et leurs affaires lucratives. Pour le dire en un mot: La médecine, c’est l’expropriation. Son essence s’oppose à celui du « marché de la santé », qui est appropriation, tant que ses marchands sont propriétaires de ce qu’ils portent au marché et vendent à leurs clients. Ces démocraties, y inclus leurs marchés et leurs marchands, aussi celles et ceux « de la santé », portent la responsabilité d’appliquer au XXIe siècle la philosophie fratricide de Platon et D’Aristote qui divise l’humanité en maîtres et en esclaves par nature, propriété des maîtres, donc non-dignes des même droits, car le marché de l’amiante et ses affaires sont hautement lucratives dans tous les continents où l’industrie, l’économie, etc. utilisent l’amiante pour produire les biens que nous importons par des raisons économiques, car les économistes réussissent à faire le calcul du prix des ces marchandises sans tenir compte du fardeau des maladies et morts prématurées et évitables, donc des homicides. La médecine axée sur l’humain ayant partout Droit au respect des Droits humains inaliénables devient expropriation des toutes ces activités et des marchés y relatifs si elle applique le point 5 du Serment de Genève, d’être valable pour les humains sans distinction géographique. Retour