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Dr Roland NIEDERMANN
SYMBIOSE VERSUS ENVIRONNEMENT
Blog 1
Les exemples sont nombreux démontrant la nature antiscientifique du système de santé. En voici un : Dans l’ordre naturel règne la symbiose. À l’opposé, l’ordre social assigne à l’homme de régner sur le reste. Donc aussi sur ce qu’il désigne comme « son environnement ». Son ère moderne actuel l’oblige à dire qu’il veut le protéger sans être claire contre qui ou contre quoi. I: SYMBIOSE ANCESTRALE 1 La présence d’oxygène 2 conditionne le feu fossile. Selon la science de la vie, l’oxygène O2 est le produit de la photosynthèse vieille de 2'700'000'000 années. De plus, le savoir actuel nous instruit que presque un milliard d’années plus tard, des bactéries se sont mises à vivre en symbiose à l’intérieur des premières grosses cellules et leur garantissent jusqu’à ce jour l’apport énergétique. La science appelle ces vestiges bactériens les mitochondries, des éléments essentiels et complexes de la vie cellulaire, se renouvelant selon leur propre génétique. II: SANS SYMBIOSE PAS DE VIE Le chainage : énergie solaire photosynthèse végétale oxygène air respiration mitochondries - activité cellulaire rend évident la place vitale de la symbiose depuis la nuit des temps. L’ordre naturel suit cette logique horizontale, il existe sans verticalité. Il semble connaître ni hiérarchie, ni propriété, ni maître, et en aucun moment et nulle part existe l’environnement. Seule la mort est compatible avec la vision séparant l’homme et l’environnement. Aucune cellule animalo- humaine vit hors de sa symbiose avec le gaz air, medium de l’oxygène naturel, garant de l’omniprésence permanente de O2, nécessaire à la vie. Il en résulte le fait que le premier examen du médecin face à la mort concerne la question: respire-t-il ? 3 III: SANS AIR SAIN PAS DE SANTÉ Depuis Hippocrate, la médecine suit la devise Primum non nocere et la Déontologie médicale indique que la première mission du médecin est la protection de la vie. Si cette dernière dépend de manière symbiotique de l’oxygène dans l’air, toute atteinte dommageable à cette symbiose ou à un de ses éléments est une agression contre la vie en nuisant à la santé pouvant aller jusqu’à la mort de cet être. IV: NÉGATION DE LA SCIENCE Le système de santé, transformé en marché de la santé, porte en toute logique le marché du droit à polluer l’air. Au marché, des marchands échangent contre argent des biens qu’ils possèdent, ici des droits de polluer l’air. L’ordre social leur attribue un droit inexistant dans l’ordre naturel. L’adhésion du marché de la santé à la philosophie du droit de polluer l’air est la négation de la symbiose comme condition de la vie et la négation que la santé dépend en premier de l’air sain. En plus, c’est l’abandon de la devise Primum non nocere et de la première mission médicale. Son soutien actif et passif au droit de nuire à la santé et à la vie met le système de santé et ses membres hors de la science et hors de la médecine. Qui dit, comme le marché de la santé, « environnement » propage l’idée suprématiste que l’homme existe dans ce qui l’entoure et qu’il lui est possible de s’attribuer des droits et des pouvoirs, même de la propriété sur son entourage pour l’utiliser à sa guise et sans respecter la science qui décrit depuis longtemps le mal pour la vie et la santé qui en découle. 1 Cf. Guerre contre la terre ; blog 5 : I 2 Cf. Chimiquement exacte : dioxygène 3 Cf. L’honneur de la médecine, blog 1 4 Cf De la symbiose au vivre ensemble: Le Courrier Retour
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